lundi 29 novembre 2010

Je n’ai pas toujours habité là…?
Il y avait un paquet de collines on se laissait tomber, dessus, dedans, on mangeait de l’herbe hirsute sans prendre la peine de faire semblant, après tout( tout quoi?) nous n’étions pas les premiers.
Derrière les collines il n’y avait rien, du moins rien d’important, devant il y avait le monde…le monde à l’échelle des petites roulettes d’un vélo bleu, et des catastrophes naturelles aussi dévastatrices  que le jour  où le vélo bleu rompu avec celles-ci (les petites roulettes, pour les deux du fonds qui ne suivent pas).
On pouvait faire pipi debout comme les garçons puisqu’il n'y en avait pas, ou parfois des papas mais ça ne compte pas vraiment....
kicékabrikolésonporteufeuye?

mercredi 24 novembre 2010

Faut bien commencer quelque part

Derrière, il y a la forêt.
C’est beau comme forêt, comme un dimanche…les vrais dimanche avec des crêpes et du coca.
Parfois ça brûle mais les arbres ne meurent presque jamais. Parfois aussi tu tues les oiseaux mais c' est parce qu'on ne t’a pas appris a faire autrement .
Il ne fait pas nuit toutes les nuits ou alors on fait semblant de ne pas voir et si il fait nuit quand même c’est parce qu’il faut grandir.
Et puis il y a les loups, ils ne mangent personne mais personne ne le sait.Les loups ne dorment pas , ils ne sont pas là pour ça…