Les loups ont hurlé toute la nuit, sueur aux tempes, souvenirs d'ecole, fleur de style d'une insomnie.
Les doigts dans la mousse , le cul luisant sur un rocher, humide et chaud comme ça fait mal.Demain peut être, dresserai-je les bêtes pour qu'elles t'avalent.
Mais tu t'agites tu dégoulines d'un poison brut, cru mais sublime.
Regarde moi quand je suis sale.
Ce que tu fais est très beau. Tu as de l'or dans les mains, ne t’arrête jamais. Mais dans le peu de photos que j'ai trouver de toi ,je vois de la tristesse dans tes yeux. J’espère que la vie ne ta pas fait trop de mal. Quand je ferme les yeux je nous revois gamin, tu était discrète et pas très bavarde.
RépondreSupprimerCe commentaire c’était simplement un clin d’œil , ne le publie pas si tu ne le souhaite pas. Bonne continuation Marion .
Un écolier d'une autre époque